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EFJ Alumni : Journaliste freelance

Rencontre avec Ann-Marie KORNEK, diplômée de la promotion 2013 de l'EFJ et actuellement journaliste freelance. 

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Je suis Ann-Marie Kornek, je suis journaliste freelance. Toute petite, je rêvais d’être pharmacienne, créatrice de mode, actrice… Je crois que j’ai voulu faire tous les métiers qui existaient au monde puis l’idée « bah tiens pourquoi tu ne cherches pas à faire du journalisme ? ». Pour moi, c’était le bon moyen de pouvoir toucher à tout. 

Si j’avais un don de la nature, je crois que ça serait de savoir parler toutes les langues. Je parle six langues étrangères : « journalist, dziennikarz, giornalista… ». Travailler dans plusieurs langues différentes, c’est quelque chose qui aujourd’hui est indispensable si on veut vraiment être un bon journaliste. Je suis journaliste freelance, je travaille soit depuis chez moi, ou de temps en temps, depuis un bureau, et j’ai plusieurs employeurs. 

Je suis plutôt stylo qu’ordinateur ! Par exemple, c’est ce carnet complètement détruit, c’est un cahier d’inspiration, c’est un pense-bête. Pour moi, c’est vraiment indispensable pour être journaliste. Mon expression préférée est «Bonjour, je suis Ann-Marie Kornek, journaliste. Je vous contacte concernant bla bla bla bla… ».

Si l’EFJ était un objet, ce serait ma clé USB. Que ce soit pour la télévision, les sujets radio, tout ça a trouvé sa place sur cette petite clé. Moi, je dirais  que j’ai découvert presque tous les médias en école de journalisme. J’ai découvert la radio, j’ai découvert la télévision. Et on nous a très tôt confrontés à des problématiques qu’on rencontre tous les jours dans le journalisme. C’était une expérience inoubliable.

Si l’EFJ était un film, je pense toujours que ce serait le Cercle des Poètes disparus, pour nos professeurs. Pas tous, mais certains étaient quand même une inspiration pour nous. Ils ont quand même su nous pousser à aller plus loin, et à avoir plus de confiance en nous et en nos capacités en tant que journalistes.

Si je revenais à mes 21 ans, je referais l’EFJ.

 

 

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